Drame

  • Echo

    Entre retranscription et mise en scène de la réalité, Echo (2019) dresse le constat d’une société occidentale (islandaise, voire parfois universelle) en pleine (r)évolution. De nombreux thèmes y sont abordés en cinquante-six fragments-témoins, imprégnés d’humour et de mélancolie.

  • Les Éternels (2018) de Jia Zhang-ke

    Dernier film de Jia Zhang-ke, Les Éternels (2018) met en scène le portrait d’une femme forte dans le milieu impitoyable de la pègre et d’une Chine en constante évolution.

  • Microhabitat (2018) de Jeon Go-Woon

    Premier long-métrage de la réalisatrice coréenne Jeon Go-Woon, Microhabitat (2018) est une comédie dramatique mettant en scène la société coréenne à travers le récit d’une jeune femme refusant de s’adapter aux normes de son pays.

  • Regarde la mer de François Ozon

    François Ozon nous offre en cinquante-deux minutes un grand film pensé comme un thriller horrifique et psychotique lardé de paradoxes. En cultivant la noirceur du film de genre, le cinéaste s'empare de ce registre en y ajoutant un ton très personnel et une virtuosité éloquente.

  • L'Echiquier du vent (Shatranj-e baad) de Mohammad Reza Aslani

    Ce long métrage, assourdi de l'intérieur par un gouvernement censeur, arrive d'un lointain chaos, et marque un ton résolument nouveau dans la cinématographie iranienne. Ce joyau est réapparu comme l'une des œuvres les plus étonnantes de la Nouvelle Vague prérévolutionnaire islamique du pays.

  • La Lettre inachevée (Neotpravlennoe pismo) de Mikhaïl Kalatozov

    Dans la démesure de la Taïga, Mikhaïl Kalatozov n'oublie jamais la mesure de son point de vue pour livrer un film à la temporalité patiente, linéaire, mais totalement ébranlée par les changements de saisons et le déchaînement des éléments, faisant de La Lettre inachevée (1959) une œuvre à part, sidérante de beauté.

  • Breathless de Yang Ik-June (2009)

    Premier film du réalisateur coréen Yang Ik-June, Breathless (Ddongpari) est un film dramatique sorti en 2009 mettant en scène l'incarnation de la colère.

  • La Vie privée d’un sénateur (The Seduction of Joe Tynan) de Jerry Schatzberg (1979)

    La vie privée d’un sénateur retrace avec agilité le parcours d'un homme qui sacrifie la stabilité de sa vie de famille pour la recherche du pouvoir à plus grande échelle. Il se concentre sur le traitement de thèmes importants comme le pouvoir et le sexe, l’adultère et l'hypocrisie, la corruption et les compromissions.

  • La Belle (Grazuole) de Arunas Zebriunas (1969)

    Portrait poignant de l’innocence et de l’expérience, La Belle est une fable limpide, simple et exquise qui capture avec une grande justesse et une délicatesse aérienne le monde intérieur de l’enfance.

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